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The Wolf / Волк (Ridley Dovarez, Wolf-lefilm) [2013 г., anal, oral, fetish, hardcore, DVDRip]

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Top Seed 06*platinum

Стаж: 8 лет 9 месяцев

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Рейтинг: 31.97 

Откуда: Мир порнографии

Zimbabwe

19-Окт-09 13:50:36 (10 секунд назад)

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The Wolf / Волк
Год производства: 2013 г.
Страна: France
Жанр: anal, oral, fetish, hardcore
Продолжительность: 02:04:05
Режиссер: Ridley Dovarez
Студия: Wolf-lefilm
В ролях: Tony Forza, Luca de la Vega, Gabriel Dragün, Jordan Fox, Mathieu Ferhati, John Latino
Описание: According to legend, an ancient Greek people that we named the Scythians changed once a year into a wolf and satiating their basic needs and cattle. These young men have the Scythians blood flowing in their veins. In this new Ridley Dovarez' movie, the director of acclaiment Schyzo, revisits gay porn and showcases in very innovative way with new players (Tony Forza Gabriel Dragün) and big names in French porn (John Latino, Mathieu Ferhati). Sexy, rude and bestial.
По преданию, древний греческий народ, который мы называем "Скифы", один раз в год превращались в волков и удовлетворяли свои звериные потребности в новом обличье. Скифская кровь течет в жилах этих молодых людей. В этом новом фильме Ридли Довареза, режиссера нашумевшего "Шизо" (Schyzo), гей-порно показывается с необычной стороны с новыми актерами (Tony Forza и Gabriel Dragün) и большие имена во французском порно (John Latino и Mathieu Ferhati). Сексуально, грубо, по-животному.
Доп. информация:
On avait beaucoup aimé Schyzo, porno gay audacieux transformant le quotidien d’un serial killer en boîte à fantasmes tendance SM. Le réalisateur français Ridley Dovarez revient avec un nouveau long-métrage, Wolf, et on ne s’avancera pas trop en vous garantissant qu’à sa vision vous allez hurler de plaisir.
La voix off en introduction plante le décor : il est évoqué une vieille légende selon laquelle les membres d’un ancien peuple grec se transformaient une fois par an en loups, ne répondant plus qu’à leurs instincts et désirs les plus primaires. On nous avertit que les garçons que nous allons voir doivent avoir du sang de ce peuple qui coule dans leurs veines car une fois par an ils deviennent des bêtes de sexe, en quête de chair fraîche.
Une durée d’un peu plus de deux heures, six scènes de sexe : Wolf est un film généreux. Une fois de plus, Ridley Dovarez a écrit, produit et réalisé ce projet qui entend bien mêler puissance formelle et excitation. Le premier passage porno, confrontant les modèles Tony Forza et Luca de la Vega donne le ton : une véritable explosion. Tony Forza se tripote en matant à sa fenêtre et est démasqué par un beau latino dont on ignore s’il s’agit d’un voisin ou d’un passant. Ce dernier vient frapper à sa porte et le plaque contre le mur, signant le début d’étreintes particulièrement torrides. D’emblée, impossible de rester insensible face à la puissance de la mise en scène. On est emportés dans un trip sexuel hyper sensoriel. Contre plongées asseyant la domination d’un Luca de la Vega balaise face à un partenaire très gourmand, gros plans étourdissants, successions de plans à la fois inspirés, jouant avec la subjectivité, permettant au spectateur de se sentir complètement au cœur de l’action. La caméra est clairement l’un des personnages principaux de ce film porno indépendant qui avec très peu parvient à nous emporter très loin, au-delà du plaisir. Sens évident du cadre, l’agréable sensation quand on y regarde de près que Ridley Dovarez ne laisse rien au hasard alors que tout apparaît comme furieux et spontané. La fluidité des corps qui s’entrechoquent va de pair avec un montage parfois brutal, ne laissant pas le temps de respirer, instaurant une tension sexuelle permanente. Dans la peau du passif viril, Tony Forza semble complètement s’oublier. Un sentiment contagieux. Suce à genoux, multiples biffles, sodomie contre la fenêtre, contre le lavabo de la cuisine avec le bruit de la vaisselle qui claque en même que celui des fesses offertes… Difficile de ne pas entrer dans cette danse primaire. La musique, chopée via le site Audio Jungle, apporte une atmosphère singulière. Des morceaux à tendance électro / down tempo, avec un côté 90′s sexy. Des mélodies émanent une inattendue douceur, un côté presque sentimental alors que Luca de la Vega déboite son partenaire. Ou comment montrer subtilement la sensualité, la belle complicité, au cœur de rapports dominant/dominé, plus bandants et ludiques que jamais. Cette scène a été réalisée avec très peu de moyens, le décor est un simple appartement dans lequel l’excité Tony Forza va se faire prendre dans toutes les pièces. Quand on voit à quel niveau d’intensité Ridley Dovarez hisse l’ensemble, on se dit qu’il est vraiment fort.
Après cette belle promesse, la suite est loin de décevoir. La deuxième scène nous présente Gabriel Dragün, jeune mec à la beauté particulière, un côté minet tout en étant très bien bâti, et surtout un regard lubrique et aguicheur qui annonce la couleur : nous sommes en présence d’un passif soumis qui sait ce qu’il veut. Le point de départ est un banal solo au milieu d’un salon, face à un téléviseur. Très vite on part ailleurs, comme si on rentrait dans la tête du personnage, pris de visions fiévreuses où il serait soumis, attaché, où il révélerait son côté « femelle ». Jordan Fox fait un petit caméo, incarnant le fantasme du mâle dominateur. Les images dialoguent entre elles, opposant temps présent, fantasmes et une vidéo x défilant sur un téléviseur. Gabriel Dragün s’excite devant sa propre image sur l’écran. Une image déformée, plus violente, plus explicite. On a l’impression qu’il se soumet face à cette tv, face au porno, face à ses désirs intenses faisant subitement de lui une bête en chaleur. Une fois encore la caméra transcende son modèle, saisit le vertige qui l’anime.
La troisième scène dévoile un plan en extérieur entre Tony Forza et le très sexy Mathieu Ferhati. En plein air, dans un coin isolé, avec quelques éléments industriels faisant un peu songer à l’univers de Cazzo (Men Factory notamment), les deux mâles s’emballent. Grosses pelles baveuses de rigueur, biffles, enchaînement de positions… Tout défile très vite, de façon sauvage. Wolf capture l’urgence du sexe, la fièvre des rapports directs. Il y a peu de dialogues mais les images et les corps parlent d’eux-mêmes. Si Mathieu Ferhati ne ménage pas son passif, il laisse parfois s’échapper un regard tendre ou un sourire irrésistible, marquant une tendresse, une joie toute simple d’être là et de baiser sans arrière pensée. Encore un duo parfaitement chorégraphié, bestial, plein de souffle.
Le quatrième moment porno permet une plongée plus explicite dans le sujet du film. On y voit dans une sorte de remise / chantier, Gabriel Dragün se faire cartonner par l’hyper actif John Latino. Ce dernier redonne tout son sens à l’expression « bouffer un cul ». De mémoire, on a jamais vu des anulingus exécutés avec autant de passion et d’appétit. Une véritable performance, féroce. On est dans l’exagération, sur le fil. Ca aurait pu être grotesque mais c’est juste explosif. Le loup est dans la place.
Les deux dernières scènes ont été tournées dans un sexclub de Nice, le Cockring. On y suit deux duos, là encore très réussis. En chasse, l’insatiable Gabriel Dragün se laisse prendre dans les filets de Luca de la Vega. Leur duo est étonnamment doux, tendre. De la baise romantique au milieu d’un cruising bar, deux garçons qui se rejoignent le temps d’une parenthèse sexuelle. Le final, opposant Tony Forza à John Latino laisse pour sa part sans voix. Un moment hot, flirtant avec le hard, en sous-sol. On ne vous dévoilera pas tout mais c’est un véritable tremblement de terre…
Seul ou à deux, chez soi, en plein air ou en sexclub : Wolf glorifie le sexe direct et bestial avec une puissance qui laisse la bouche grande ouverte. Peu de moyens mais une mise en scène maîtrisée. Ridley Dovarez a le sens du détail et ne rate aucun regard qui en dit long ou qui rend fou, aucun bruit renvoyant à des sensations particulières, transcende l’anecdotique, rend beau ce que certains se plaisent à considérer comme sale, profondes des étreintes pourtant primitives. Il ramène de l’érotisme et de la sensualité dans ce qu’il y a de plus « cash », nous renvoie, notamment grâce au travail sur la lumière, à ce que les lieux de cruising peuvent avoir de plus cinématographique. Entre légendes et rites masculins, on ne sait plus où on est, on en prend plein les yeux. De quoi réveiller la bête qui sommeille en chacun de nous…
Качество видео: DVDRip
Формат видео: MP4
Видео кодек: H.264/AVC
Аудио кодек: AAC
Видео: MPEG4 Video (H264) 848x480 25fps 863kbps
Аудио: AAC 22050Hz stereo 62kbps

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Торрент: Зарегистрирован  [ 22-10-2022, 13:21 ]

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Статус: проверено
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Размер: 826.3 MB
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Макарр

Стаж: 10 лет 5 месяцев

Сообщений: 631

Рейтинг: 1.31 

04-Май-14 11:51:41 (спустя 33 минуты)

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Ну, как вам скифы?
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